Mail envoyé aux entreprises de transports en commun et aux associations d'usagers le 11 mai 2021

Madame, Monsieur,

Le masque est obligatoire dans les transports en commun depuis le 11 mai 2020. Cette semaine, nous « fêtons » le bien triste premier anniversaire de cette mesure.

Cette mesure est obligatoire dans tous les transports en commun - même le co-voiturage, les remontées mécaniques, les téléphériques, les funiculaires de Montmartre et du Havre, certains ascenseurs d'immeubles parisiens, les voitures voyageurs ouvertes des trains touristiques (exemple : https://angele-trains-61.skyrock.com/3311511606-Voiture-balladeuse-du-CFVE.html)

Je conteste cette mesure depuis qu'elle a été décidée fin avril 2020. Hervé Morin, Président de la Région Normandie, a dit dans les médias locaux qu’il n’imaginait pas que quelqu’un monte dans le train sans masque. Un an après, je ne comprends pas et je n’accepte toujours pas une telle phrase.

Au départ, c'était uniquement pour 3 semaines, c'est à dire la 1ère phase de la sortie de confinement du printemps 2020. Et puis, cela dure encore et encore, sans date de fin annoncée.

J'exige la fin du masque dans les transports en commun. Ou, sinon, j'exige les preuves de l'efficacité de cette mesure pour stopper l'épidémie de COVID-19, preuves que vous aurez le plus grand mal à me fournir, étant donné qu'elles n'existent pas. En revanche, les preuves de la nocivité du masque sont évidentes et connues : Démangeaisons, allergies, irritations cutanées, difficultés respiratoires, difficultés de concentration, chaleur excessive, étourdissements, migraines, nausées, malaises, évanouissements, mauvaise oxygénation des organes vitaux, infections de toutes sortes, y compris des infections pulmonaires bactériennes (qui seront déguisées en Covid-19 car les personnes hospitalisées à cause de ces infections auront été testées positives à la Covid-19), dues à la fermentation liée à l'humidité et la chaleur dans le masque, qui créent un véritable bouillon de culture... Les bactéries, les virus, et les champignons s’en donnent à cœur joie.

De nombreux voyageurs ne peuvent ni supporter le masque ni échapper aux transports en commun (par manque de moyens pour posséder un véhicule personnel, ou autre). Cela amène les questions suivantes :
•    Que faites-vous des asthmatiques, des personnes en situation de handicap divers (cancer des voies respiratoires, eczéma, acné, autisme, schizophrénie, troubles bipolaires, claustrophobie...) qui ne peuvent pas supporter le masque, physiquement ou psychologiquement ?
•    Que dites-vous à ces personnes ? De prendre leur voiture ?
•    Si elles sont au RSA et qu’elles n’ont pas les moyens d’en avoir une, vous leur dites quoi ?
•    Si elles ont des troubles psychiatriques qui les empêchent de conduire, vous leur dites quoi ?
Ces questions amènent celle d’une division entre les citoyens. Il y a d’un côté ceux qui peuvent échapper aux transports en commun et à votre obéissance aux mesures pseudo-sanitaires, et d’un autre ceux qui ne peuvent pas et qui subissent ces mesures malgré leur santé incompatible avec celles-ci. Voulez-vous d’une société à deux vitesses avec d’un côté des citoyens qui peuvent se déplacer et de l’autre d’autres qui ne le peuvent pas ? Tout le monde a le droit à la mobilité, et sans subir de contraintes diverses et variées comme les mesures pseudo-sanitaires. Combien de temps allez-vous accepter cette société ?
Les malaises dus aux masques sont nombreux et connus. Ils peuvent aller jusqu'au risque d'accident. Par conséquent,
•    Dans le cas d'un accident dû à conducteur de train, de tramway, ou de bus victime d'un malaise, qui sera responsable ?
•    Si un voyageur est victime d'un tel malaise, qui encore sera responsable ? Qui sera convoqué devant les Tribunaux en cas de plainte au pénal ?

De plus, certaines entreprises de transports et certains conducteurs exigent le masque en-dessous de 11 ans - ce qui est illégal. Je rappelle avec force cette illégalité. Des voyageurs et leurs représentants légaux seraient en droit de porter plainte pour cela.
Certains agents du service commercial et certains agents de conduite des entreprises de transports, qui n'ont pourtant pas la compétence médicale ni celle de police, se permettent de contrôler la conformité des masques. Ils préfèrent s'amuser à importuner les voyageurs sur des questions de masque plutôt que de vérifier les titres de transport.

Monsieur Le Premier Ministre, Jean Castex, a rappelé dans une interview donnée au Journal Télévisé de TF1 de 13 heures jeudi 21 janvier 2021 que personne n’était habilité à vérifier l’état des masques ni leur conformité aux normes de filtration. Pourquoi ces personnes se permettent de prendre des initiatives que Monsieur le Premier Ministre a pourtant interdites ?
J'exige de monter dans les transports sans masque. En étant titulaire d’un titre de transport valable, j'estime être en règle et ne pas devoir être considérée comme une délinquante ni un danger public.

D'ailleurs, à propos de danger, je vous informe, pour le cas où cela vous aurait échappé, que l'épidémie est terminée. A travers le monde, des pays entiers ont levé les mesures pseudo-sanitaires, comme la Russie, plusieurs Etats des Etats-Unis, l'Inde, etc... C’est dans les pays où la répression sur ces mesures est la plus forte que l’épidémie continue encore et encore, malgré une vaccination massive et très fortement encouragée. C’est bien la preuve que ces mesures ne fonctionnent pas, et qu’il faut arrêter d’y obéir.
Je vous informe ou vous rappelle également que la maladie du Covid-19 se soigne très bien. Le tout est de le vouloir. Il existe plusieurs traitements anciens, connus, éprouvés, peu dangereux, disponibles, et bon marché.
Hélas, c’est tellement plus facile de suivre les mensonges du gouvernement qui entretient la fiction d'une pandémie mondiale hyper-mortelle. C’est tellement moins courageux de rejeter les responsabilités avec des phrases comme « c’est la loi. Personne ne peut faire autrement », « C’est pour le bien de la communauté », ou encore « les asiatiques ont la culture du port du masque. Pourquoi pas nous ? ».

Effectivement, nous parlons beaucoup actuellement de nos amis asiatiques qui ont l'habitude de porter le masque. Leur culture est différente. Ils l'utilisent uniquement à bon escient, et non en permanence comme notre gouvernement veut nous l'imposer en France. Le masque ne deviendra jamais une norme sociale, même si cela semble malheureusement être le cas dans la tête d'un certain nombre de nos citoyens. Il est hors de question que cela le devienne, malgré les gesticulations et les blablas de certains médecins, journalistes, élus, et chefs d'entreprises.

Pour ce triste anniversaire, un appel national au boycott des transports en commun est lancé. Des tracts ont été imprimés à cet effet. La distribution a commencé.
Tous avec nos moyens de transport alternatifs : Marche à pieds, cheval, patins à roulettes, trottinette, vélo, véhicule à traction animale, char à voile, scooter, mobylette, moto, side-car, voiturette, voiture, auto-stop, tracteur, camping-car, semi-remorque, véhicule militaire, jeep qui a débarqué en Normandie en 1944, char Leclerc ou Sherman, autochenille, planeur, ULM, hélicoptère privé, et autres engins divers et variés !
•    Il faudra combien de voyageurs manquants par rapport à la fréquentation habituelle pour que vous vous décidiez enfin à prendre position pour que le port du masque dans les transports en commun soit à la libre appréciation de chacun ?
•    Il faudra combien de rames de TER, de bus, et de tramways qui circulent avec un taux de remplissage très faible, de cartes d’abonnement résiliées, de chiffres d’affaire manquants pour vous pousser très fortement à une telle prise de position ?
Je vous remercie de la lecture de ce message.

Dans l’attente d’une réponse aux questions posées, je vous prie d’agréer, Madame, Monsieur, mes salutations distinguées.