Exemple de courrier ou de mail à envoyer aux directeurs d'écoles - Envoyé depuis le 19 octobre 2021

Du collectif « Bas les Masques en Normandie »

Aux écoles

Madame, Monsieur,

Nous sommes un collectif de parents et de citoyens soucieux du bien-être de nos enfants et de l'ensemble de nos concitoyens. Nous sommes la section Normandie du collectif « Enfance et Libertés » présent dans toute la France.

Nous introduisons notre propos par quelques articles de presse que nous vous invitons à lire.

- article paru dans le journal La Dépêche le 23 mars 2021 : https://www.ladepeche.fr/2021/03/23/covid-19-a-toulouse-un-psychiatre-alerte-on-recoit-beaucoup-dadolescents-avec-des-idees-suicidaires-9445450.php

- article paru dans le journal Actu Toulouse le 23 mai 2021   : https://actu.fr/occitanie/toulouse_31555/toulouse-des-enfants-de-6-ans-font-des-tentatives-de-pendaison-l-hopital-subit-les-effets-du-covid_42031662.html

- article paru dans le journal 20 Minutes le 26 mai 2021 : https://www.20minutes.fr/societe/3048555-20210526-coronavirus-port-masque-enseignants-tres-inegalitaire-eleves

- article paru dans le journal Le Progrès le 1er juin 2021 : https://www.leprogres.fr/education/2021/06/01/chaleur-et-masques-quatre-collegiens-victimes-de-malaise

- article paru dans le journal Ouest France le 18 juin 2021 : https://www.ouest-france.fr/sante/masques-de-protection/covid-19-plusieurs-societes-de-pediatres-demandent-la-fin-du-masque-dans-les-ecoles-primaires-84ae8eb4-d03a-11eb-8f5d-bbe5719fc3b1

- article paru dans le journal Le Figaro le 27 septembre 2021 : https://www.lefigaro.fr/vox/societe/masques-a-l-ecole-priver-les-enfants-de-nos-visages-est-une-deshumanisation-20210927

Ces articles illustrent les dangers des mesures sanitaires sur nos enfants et nos ados, et la nécessité d'y mettre fin.

1. Port du masque

L’obligation du masque en primaire a été retirée depuis quelques semaines. Cette obligation a été remise en place. Le protocole sanitaire implique également la fermeture de classes pendant une semaine s’il y a un cas positif à la Covid-19. Cela implique trois questions :

1. À quoi sert le masque ?

2. C’est quoi « un cas positif » à la Covid-19 ? L’enfant est-il malade ? Est-il contagieux ? Mêmes questions pour les adultes.

3. Pourquoi avoir retiré l’obligation du masque si c’est pour la remettre quelques semaines plus tard ? Les paramètres définissant cette obligation auraient-ils changé ?

Certains d’entre vous vont plus loin que ce que les mesures gouvernementales demandent, jusqu’à :

* imposer un certificat sanitaire aux adultes et aux accompagnants (famille, voisins, amis) voulant entrer dans l’enceinte des écoles ;

* remettre en cause, voire refuser, les certificats médicaux de dispense de masque.

De telles initiatives sont interdites.

Ces mesures sont définies par les décrets et notes de services successifs communiqués depuis le 17 mars 2020. Ces mesures changent, sont modifiées ou adaptées, évoluent en fonction de paramètres que nous ignorons ou qui nous échappent.

L’ordonnance du Conseil d’État numéro 452502 du 1er Juin 2021 dit que ni l’établissement ni la médecine scolaire n’ont la compétence pour juger de la pertinence d’un certificat quelle que soit sa nature. Si des doutes existent sur sa validité, l’établissement ou le médecin scolaire doit prendre contact avec le médecin référent et lui adresser ses questions selon l’article R4127-56 du code de déontologie médicale, tout en respectant l’application de la dispense tant que la situation reste inchangée.

À défaut, les parents pourront saisir le Tribunal Administratif pour faire reconnaitre la validité de ces certificats médicaux et accepter que leurs enfants soient scolarisés sans masque.

Nous, parents et citoyens, voulons dialoguer avec tout le personnel éducatif, pour déterminer ensemble la meilleure solution pour nos enfants dans ce contexte particulier, et éviter la judiciarisation de nos relations.

De nombreuses mesures par oxymètre de pouls ont été effectuées à la fin de plusieurs journées d’École. Ces mesures démontrent des situations d’hypoxie. Le taux de saturation de l’oxygène constaté se situe en effet la plupart du temps sous les 90 %, un chiffre très inférieur au seuil minimal normal nécessaire à une bonne oxygénation du corps humain (à savoir 95 %). La respiration est fortement freinée. Dans cette situation, le droit vital de la personne à respirer est bafoué.

L'obligation de port du masque constitue une situation qui porte atteinte au respect des droits de la personne. Le port du masque ne résulte pas du consentement libre et éclairé du porteur. Elle résulte bien d’une obligation soumise à sanction.

Les informations transmises à l’École durant cette crise sanitaire ne sont pas exactes. On explique aux enfants qu’il est nécessaire de porter un masque pour se protéger d’un virus très dangereux pour eux. Alors que c’est faux. Ce masque servirait aussi à protéger les autres d’une transmission sans symptômes de ce virus. C’est également faux. Une maladie contagieuse sans symptômes, cela existe rarement.

Nous croyons en l’École de la République et aux valeurs qu’elle transmet. Hélas, elle est devenue aujourd'hui le relai du discours ambiant anxiogène, absurde et liberticide alimenté par les médias. L’École est normalement un lieu dédié à l’éveil intellectuel, culturel et physique des enfants. C'est loin d'être le cas aujourd'hui. Elle est la courroie de transmission de toutes les peurs irrationnelles que nous subissons depuis le début de l’année 2020.

Nous nous opposons au fait que les enfants et leurs interlocuteurs doivent être obligatoirement et continuellement masqués à l'école, les condamnant à un rapport déshumanisé. Aucun établissement scolaire ne peut refuser les enfants qui ne respectent pas ces mesures. En tant que premiers responsables de nos enfants, nous, parents et citoyens, voulons continuer de les maintenir scolarisés sous votre responsabilité.

Le masque protège de la poussière, des bactéries, de la pollution, des champignons, mais pas des virus. Les fabricants de masques eux-mêmes reconnaissent que le masque ne protège pas son porteur ni du Sars-Cov-2, ni d’aucun virus. Sur les emballages des masques, il est systématiquement écrit des mentions du type « Ceci n’est pas un dispositif médical. Ce produit ne protège pas des contaminations virales ou infectieuses ». Les masques ne protègent pas des contaminations au virus Sars-Cov-2, ni d'aucun virus. Il suffit de lire. Pourquoi ne le faites-vous pas ?

Monsieur Olivier Véran, ministre de la Santé et des Solidarités, a dit lors d’une audition devant le Sénat jeudi 24 septembre 2020 « Il n'y a pas de passage aérosol du coronavirus. C’est ce que nous disaient les scientifiques du monde entier. Le port du masque en population générale ne s'imposait donc pas, et n'était même pas recommandé d'après la Haute Autorité de santé ». Pourquoi n’écoutez-vous pas ce membre du gouvernement ?

De nombreux professionnels et par de nombreux témoignages ont constaté que le masque est pathogène à plusieurs égards :

* Maux de têtes ;

* Vomissements ;

* Endormissements ;

* Saignements de nez ;

* Hypoxie, hypercapnie ;

* Problèmes dermatologiques ;

* Troubles comportementaux ;

* Anxiété, phobie scolaire ;

* Troubles de la parole ;

* Troubles somato-psychiques (appétit, digestion, etc.).

Par conséquent, il est scandaleux de s'obstiner à vouloir faire porter le masque aux enfants alors que leur développement physique et cognitif est en cours. Cette situation doit cesser immédiatement et sans conditions, peu importe les ordres et les consignes que vous recevez, peu importe les textes en vigueur, peu importe vos convictions et vos considérations personnelles.

2. Vaccination des enfants contre la Covid-19

L'immunité à long terme des produits commercialisés en France comme étant des vaccins reste totalement inconnue car il s’agit d’une forme de prophylaxie inédite (pseudo-vaccin à ARN messager) et dont les essais cliniques ne sont pas terminés. Des événements indésirables graves ont d’ailleurs été signalés après ce type de vaccination.

La protection est aléatoire. La durée de protection et la quantité d’anticorps sont variables d’un individu à l’autre. Les personnes vaccinées ne sont pas protégées pour autant contre la Covid-19. De nombreux variants du virus Sars-Cov-2 semblent eux-mêmes issus de la vaccination - Dixit le Professeur Luc Montagnier.

Des annonces gouvernementales parlent de prochainement vacciner les enfants à partir de cinq ans. Allez-vous participer aux campagnes de vaccination qui seront mises en place ? Comme le font actuellement vos collègues de collèges et de lycées pour les enfants à partir de douze ans.

3. Plaintes en cours

De nombreux parents d’élèves déposent actuellement des plaintes contre les enseignants auprès du Procureur de la République dont ils dépendent pour les motifs suivants :

1. acte de torture sur personne mineure : caractérisé par la diminution en oxygène provoquée par le masque.

2. exercice illégal de la médecine : caractérisé par un acte médical. Le masque est un accessoire médical. Obliger à le porter revient à pratiquer un acte médical. Disposent-ils de diplômes de médecine ? Ont-ils une activité médicale en plus de leur activité d’enseignant ? Sans cela, c'est bien de l'exercice illégal de la médecine.

Cela implique la question : Que vont-ils répondre lors des convocations venant des autorités judiciaires ?

Conclusion

Les connaissances actuellement accessibles au grand public sur la Covid-19 et le virus Sars-Cov-2 sont les suivantes :

* les personnes décédées de la Covid-19 sont très souvent âgées de plus de 80 ans et ont des facteurs de comorbidité (obésité, diabète, etc.) ;

* le taux de survie global de la population à une infection à cette maladie est de 99,5% (199 malades sur 200 s’en remettent) ;

* le taux de mortalité chez les moins de 20 ans est de seulement 0,0001% (1 pour 1 million, 67 pour toute la France maximum) ;

* les enfants ne sont ni porteurs, ni réservoirs, ni contagieux. Les enfants ne participent que très exceptionnellement à la chaîne de transmission du virus Sars-CoV-2, et ont une excellente résistance à cette maladie ;

* le lavage des mains est une mesure bien plus efficace pour empêcher la transmission de ce virus. Nous approuvons et encourageons cette mesure.

Si vous disposez d’informations différentes et exactes, nous sommes disposés à les prendre et à en tenir compte.

Nous vous posons les questions suivantes :

1. Appliquez-vous les directives gouvernementales en date du 16 juin 2021 selon lesquelles le masque n'est plus obligatoire dehors ? Cela s’appliquent à tous, y compris aux enfants et aux adultes dans les cours de récréations des écoles.

2. Pourquoi certains de vos collègues (un petit nombre, heureusement) maintiennent le masque obligatoire dans les cours de récréation ? Alors que les directives gouvernementales citées dans la précédente question mettent fin à cette obligation. Est-ce également votre cas ?

3. Pour quelles raisons continuer à vouloir imposer le port du masque pour les enfants et les adultes à l'intérieur de bâtiments des écoles, masque inutile et dangereux ?

4. Croyez-vous réellement à l'efficacité des masques et des produits commercialisés comme des vaccins pour lutter contre l'épidémie de Covid-19 ?

5. Pourquoi, alors que les masques font partie de notre vie quotidienne, l'épidémie semble difficilement reculer ?

6. Les masques ont-ils empêché une deuxième, une troisième, une quatrième vagues ? Ont-ils empêché l'apparition des variants ? Vont-ils empêcher des probables cinquième, sixième, septième, énième vagues ?

7. Pour quelles raisons obéissez-vous à des ordres illégaux, immoraux et dangereux pour la santé d'autrui depuis le 2 novembre 2020 ? Pour quelles raisons certains d’entre vous appliquent leurs idées qui vont plus loin que ce que les textes en vigueur demandent ? Quels intérêts avez-vous à le faire ? 

8. Pour quelles raisons obéissez-vous aux décrets du 29 octobre 2020 et suivants avec un contenu similaire ?

9. Avez-vous conscience des graves conséquences des ordres, consignes, et protocoles que vous recevez ? Avez-vous conscience des graves conséquences des initiatives personnelles que vous prenez ?

10. Pour quelles raisons certains de vos collègues rejettent-ils la responsabilité de leurs agissements sur la déontologie qui incombe à leur statut d’agent du service public, ou sur des membres du gouvernement ?

11. Comment se fait-il que certains de vos collègues avec qui nous sommes en contact parviennent à ne pas obéir aux consignes et aux ordres que vous recevez tous sans recevoir de sanctions hiérarchiques ou administratives ? Dans leurs écoles, les élèves et les enseignants mettent le masque uniquement s'ils le souhaitent, malgré les textes en vigueur, et sans qu'il n'y ait de cas de Covid-19 ni de foyers épidémiques à l'intérieur de celles-ci. 

Nous vous invitons à lire cet article paru dans le journal Le Figaro le 22 mars 2017 : https://sante.lefigaro.fr/article/experience-de-milgram-l-etre-humain-prefere-encore-torturer-que-desobeir/

Nous attendons des réponses à nos différentes demandes, questions, et interrogations.

Nous vous prions de croire en l'expression de nos sentiments les meilleurs.

Le collectif « Bas les Masques en Normandie »

http://bas-les-masques-normandie.over-blog.com